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samedi 16 février 2008
vendredi 15 février 2008
L'évenement / Hiver 2007 / 2008
Laques de Frédéric Halbreich à l' Espace Arts Gallery
Depuis ses débuts, cet artiste évolue dans le domaine de l'abstraction la plus pure et la plus radicale. Après bien des recherches le support change. Son oeuvre s'incarne désormais dans la laque de Chine. En artisanat haut de gamme sa réputation n'est plus à faire.
L'artiste utilise des formes simples et fortes, à la fois denses et dépouillées, s'incarnant dans des combinaisons de noir et de blanc, enrichies plus récement du contraste d'un sang de boeuf ou de la chaleur d'un ocre aux nuances de caramel évoquant la caisse d'un violon.
Cette oeuvre répond ainsi à la définition à la fois nécessaire et suffisante de l'artiste: Un créateur de beauté.
Depuis ses débuts, cet artiste évolue dans le domaine de l'abstraction la plus pure et la plus radicale. Après bien des recherches le support change. Son oeuvre s'incarne désormais dans la laque de Chine. En artisanat haut de gamme sa réputation n'est plus à faire.
L'artiste utilise des formes simples et fortes, à la fois denses et dépouillées, s'incarnant dans des combinaisons de noir et de blanc, enrichies plus récement du contraste d'un sang de boeuf ou de la chaleur d'un ocre aux nuances de caramel évoquant la caisse d'un violon.
Cette oeuvre répond ainsi à la définition à la fois nécessaire et suffisante de l'artiste: Un créateur de beauté.
REGARDS / décembre 2007
FREDERIC HALBREICH " LAQUES "
Depuis ses débuts, Frédéric Halbreich évolue dans l'abstraction la plus pure et la plus radicale. Après bien des recherches, le support a changé.
Depuis longtemps familière dans les objets d'art venus d'Extrême Orient ,la laque est désormais utilisée dans le domaine de la peinture.
Une quête spirituelle de l'absolu utilisant des formes simples et fortes, s'incarnant dans des combinaisons de noir et de blanc, enrichies du contraste d'un sang de boeuf ou de la chaleur d'un ocre aux nuances de caramel...
A voir du 19 décembre au 12 janvier 2008 à l'Espace Art Gallery, 35 rue Lesbroussart, 1060 Bruxelles (entre Bailly et Flagey).
Vernissage le mercredi 19 décembre de 18h30 à 21h30.
Socles et cimaises 2
TRIHEDRAL EXHIBITION
Frédéric Halbreich is a painter and a musician who initiated a true investigation into the depth of the colour surface and this is a special technique: Lacquer ware applied to normal canvas sizes.
This technique coming from Oriental art is something rather difficult and you need to be quiet and patient to obtain some result.
To better know the techniques, the artist went to Russia and a long time practice now produces the best results.
His pieces are rather precious, full of a particular sensibility and you have to touch them to realize the smooth aspect is really full of some underground signification.
Frédéric Halbreich is a painter and a musician who initiated a true investigation into the depth of the colour surface and this is a special technique: Lacquer ware applied to normal canvas sizes.
This technique coming from Oriental art is something rather difficult and you need to be quiet and patient to obtain some result.
To better know the techniques, the artist went to Russia and a long time practice now produces the best results.
His pieces are rather precious, full of a particular sensibility and you have to touch them to realize the smooth aspect is really full of some underground signification.
Socles et Cimaises /mars 2007
Frédéric Halbreich, peintre et musicien, a entrepris une véritable recherche dans un domaine peu fréquenté: La laque.
Cette forme orientale de l'art de peindre exige le calme, la patience et la sérénité.
Cette technique difficile, l'artiste est allé l'apprendre en Russie et le travail d'une longue patience fait le reste.
Ce sont des oeuvres lisses et précieuses qu'il faut voir et toucher pour en apprécier le fini de l'oeuvre et l'infini de l'expression.
Cette forme orientale de l'art de peindre exige le calme, la patience et la sérénité.
Cette technique difficile, l'artiste est allé l'apprendre en Russie et le travail d'une longue patience fait le reste.
Ce sont des oeuvres lisses et précieuses qu'il faut voir et toucher pour en apprécier le fini de l'oeuvre et l'infini de l'expression.
Schaerbeek 7/8 novembre 1998
Halbreich Frédéric
Peinture
Frédéric Halbreich est né le 28 août 1962.
Sa peinture est non figurative au sens habituel du terme, mais figure un monde intérieur où le sens profond repose sur la notion cyclique et éternelle de l'énergie spirituelle.
Une recherche pas tant religieuse que philosophique, exprimée d'abord par la forme, ensuite par la verticale, vecteur énergétique par excellence.
Peinture
Frédéric Halbreich est né le 28 août 1962.
Sa peinture est non figurative au sens habituel du terme, mais figure un monde intérieur où le sens profond repose sur la notion cyclique et éternelle de l'énergie spirituelle.
Une recherche pas tant religieuse que philosophique, exprimée d'abord par la forme, ensuite par la verticale, vecteur énergétique par excellence.
La Libre Culture (La Libre Belgique) / avril 1999
Frédéric Halbreich
Que l'abstraction picturale puisse encore attirer de jeunes artistes, voilà qui n'a rien de surprenant, car elle reste avec la musique, le lieu où l'être poétique peut sans doûte exprimer sa plus profonde authenticité.
Frédéric Halbreich (Paris 1962), venu en peinture voici à peine deux ans, a opté pour cette voie hors de la prétention à la nouveauté, ce qui le place à l'abri des effets de tendance. L'axe majeur de son travail est dès lors une recherche d'harmonie entre son besoin de création artistique et son état le plus intime. Exploitant les jeux de nuances en de faux monochromes, les luminosités de transparence, les vibrations matièristes, l'artiste canalise ses élans émotifs en abordant prudemment le monde formel. (C.L.)
Que l'abstraction picturale puisse encore attirer de jeunes artistes, voilà qui n'a rien de surprenant, car elle reste avec la musique, le lieu où l'être poétique peut sans doûte exprimer sa plus profonde authenticité.
Frédéric Halbreich (Paris 1962), venu en peinture voici à peine deux ans, a opté pour cette voie hors de la prétention à la nouveauté, ce qui le place à l'abri des effets de tendance. L'axe majeur de son travail est dès lors une recherche d'harmonie entre son besoin de création artistique et son état le plus intime. Exploitant les jeux de nuances en de faux monochromes, les luminosités de transparence, les vibrations matièristes, l'artiste canalise ses élans émotifs en abordant prudemment le monde formel. (C.L.)
REGARDS / avril 1999
BRUXELLES NOTRE VILLE
Frédéric Halbreich
Après une première explosion picturale il y a 15 ans, nouveau départ dans la carrière du peintre (qui cultive aussi la poésie). Pour lui le choix du support est essentiel. Après avoir utilisé le panneau de bois, puis la toile de lin, c'est dans la jute non traitée qu'il a trouvé le matériau le plus adéquat. Son oeuvre achevée est autant un produit intégral de ses propres mains que de son esprit créateur. Le contrepoint des couleurs et des formes atteint, à son stade le plus radical, ses monochromies aux riches nuances. Nous avons rencontré l'artiste dans la galerie où plus de 200 personnes se bousculaient lors du vernissage. "Mon oeuvre se situe dans le cadre d'une tentative de recherche d'absolu et de dépouillement. En fait, les formes et la conception existent déjà. L'harmonie, la confrontation, le dialogue, la vibration, tout existe déjà.Toutes les composantes se balladent dans l'infinité. Mon travail consiste à établir les contacts et à pouvoir les exprimer au coeur de leurs existances universelles." "La matière est certes émotionnelle et même sensuelle, parfois répulsive. Des trois paramètres - composition, couleur, matière - elle est la moins abstraite. La quatrième composante est celle qui détermine à elle seule si le tableau est réussi ou pas. C'est ce que j'appelle le "contenu spirituel vibratoire". Il explique: "Contenu, au sens de substance. Spirituel, qui échappe à toute représentation physique. Vibratoire, cette composante véhicule vers le spectateur l'émotion qu'il est venu chercher. En fait, la plus abstraite des composantes est indispensable à la véritable existance du tableau".
Propos recueillis par D.B.
Frédéric Halbreich
Après une première explosion picturale il y a 15 ans, nouveau départ dans la carrière du peintre (qui cultive aussi la poésie). Pour lui le choix du support est essentiel. Après avoir utilisé le panneau de bois, puis la toile de lin, c'est dans la jute non traitée qu'il a trouvé le matériau le plus adéquat. Son oeuvre achevée est autant un produit intégral de ses propres mains que de son esprit créateur. Le contrepoint des couleurs et des formes atteint, à son stade le plus radical, ses monochromies aux riches nuances. Nous avons rencontré l'artiste dans la galerie où plus de 200 personnes se bousculaient lors du vernissage. "Mon oeuvre se situe dans le cadre d'une tentative de recherche d'absolu et de dépouillement. En fait, les formes et la conception existent déjà. L'harmonie, la confrontation, le dialogue, la vibration, tout existe déjà.Toutes les composantes se balladent dans l'infinité. Mon travail consiste à établir les contacts et à pouvoir les exprimer au coeur de leurs existances universelles." "La matière est certes émotionnelle et même sensuelle, parfois répulsive. Des trois paramètres - composition, couleur, matière - elle est la moins abstraite. La quatrième composante est celle qui détermine à elle seule si le tableau est réussi ou pas. C'est ce que j'appelle le "contenu spirituel vibratoire". Il explique: "Contenu, au sens de substance. Spirituel, qui échappe à toute représentation physique. Vibratoire, cette composante véhicule vers le spectateur l'émotion qu'il est venu chercher. En fait, la plus abstraite des composantes est indispensable à la véritable existance du tableau".
Propos recueillis par D.B.
ART EXPO / décembre 2007 - janvier 2008
19/12 - 12 / 01 "Noir et blanc et blanc sur blanc. Frédéric Halbreich (Laques) et Luc Janetzky (Peintures).
Frédéric Halbreich présente ses superbes laques. Il utilise exclusivement le noir sur une base de blanc. Les nuances de gris existant entre le noir et le blanc, rehaussées par des glacis sont destinées à les enrichir.
Luc Janetzky nous offre à voir ses étonnantes "Peintures blanches". Un peintre d'une incontestable perception du monde visible et invisible. Un monde travaillé, recherché, sculpté, un monde de l'espace et de l'infini.
Frédéric Halbreich présente ses superbes laques. Il utilise exclusivement le noir sur une base de blanc. Les nuances de gris existant entre le noir et le blanc, rehaussées par des glacis sont destinées à les enrichir.
Luc Janetzky nous offre à voir ses étonnantes "Peintures blanches". Un peintre d'une incontestable perception du monde visible et invisible. Un monde travaillé, recherché, sculpté, un monde de l'espace et de l'infini.
The Bulletin / avril 1999
Frédéric Halbreich
"Let nature be your teacher," William Wordsworth once observed, and this Bussels - based artist has learned well. His paintings offer a kind of abstract naturalism, inspired by trees, night skies and sunrises but somehow transcending their subjects. Most are either monochrome or incorporate shades of subtile variation, the colour calm and a little sombre - rust, ochre, deep blue, jungle green - and the names reflecting his feelings or experiences (Hommage aux jours de silence, Aube sacrée, Nécropole).
Galerie Art - Pol , 60 rue de l' Aqueduc, Brussels, until April 24, Wednesday to Saturday from 3 to 6 pm.
"Let nature be your teacher," William Wordsworth once observed, and this Bussels - based artist has learned well. His paintings offer a kind of abstract naturalism, inspired by trees, night skies and sunrises but somehow transcending their subjects. Most are either monochrome or incorporate shades of subtile variation, the colour calm and a little sombre - rust, ochre, deep blue, jungle green - and the names reflecting his feelings or experiences (Hommage aux jours de silence, Aube sacrée, Nécropole).
Galerie Art - Pol , 60 rue de l' Aqueduc, Brussels, until April 24, Wednesday to Saturday from 3 to 6 pm.
The Bulletin / avril 1997
Frédéric Halbreich.
You may not know exactly why It's right, but you see at once that it is - the lines shapes and colours in abstract yet necessary juxtaposition on the canevas. Brillant hard - edge pictures,the paint applied with a knife, the way a sculptor works in clay. It comes as no surprise to learn that Halbreich is a musician; his innate sense of rhythm and harmony is immediately apparent. The eye can imagine how the music would sound (a suggestion of Luigi Nono perhaps).
Racines & l'Oeil, 7 rue Ravenstein, Brussels, until May 5; open from noon to 6 pm, from11 to 4 pm, on Sunday, closed Tuesday.
You may not know exactly why It's right, but you see at once that it is - the lines shapes and colours in abstract yet necessary juxtaposition on the canevas. Brillant hard - edge pictures,the paint applied with a knife, the way a sculptor works in clay. It comes as no surprise to learn that Halbreich is a musician; his innate sense of rhythm and harmony is immediately apparent. The eye can imagine how the music would sound (a suggestion of Luigi Nono perhaps).
Racines & l'Oeil, 7 rue Ravenstein, Brussels, until May 5; open from noon to 6 pm, from11 to 4 pm, on Sunday, closed Tuesday.
Le soir (victoire) avril 2007
IMPRESSIONS LAQUEES
L'impression, l'imprimé, le motif, la ligne...On imagine le foisonnement .Mais l'imprimé dépouillé? C'est dans la peinture que l'on va le trouver.
Frédéric Halbreich pense sa peinture autour d'un leitmotiv: tout ce qui n'est pas essentiel est superflu. Les lignes sont pures donc. Contrastées. Et la matière poussée à l'extrême: la laque.Une technique apprise sur le tas par le peintre, à grand renfort de détournements et de patience. Pas moins de deux mois pour une seule toile. Et une laque brillante comme un piano à queue, froide comme un miroir, lisse comme un reflet dans l'eau. On y plonge.
Jusqu'au 16 avril à la Rollebeek Gallery, 28 rue de Rollebeek, 1000 Bruxelles.
Arts Antiques Auctions / Mars 1999
ART-POL
Ce sont des presque rien, des champs monochromatiques dont l'opacité ne peut que s'épanouir en surface. Des tons rabattus, sourds, rudes presque. Des champs marqués par la représentation d'échancrures, d'ouvertures courbes, de traits droits. Travaillant avec et pour la musique, Frédéric Halbreich tente la rencontre des univers. En écoutant Schumann avait écrit Knopff, ici il s'agit de Monteverdi, de Bach et de Messiaen. Du 19 mars au 24 avril.
Ce sont des presque rien, des champs monochromatiques dont l'opacité ne peut que s'épanouir en surface. Des tons rabattus, sourds, rudes presque. Des champs marqués par la représentation d'échancrures, d'ouvertures courbes, de traits droits. Travaillant avec et pour la musique, Frédéric Halbreich tente la rencontre des univers. En écoutant Schumann avait écrit Knopff, ici il s'agit de Monteverdi, de Bach et de Messiaen. Du 19 mars au 24 avril.
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